Rejoins ta ruche

RSE – Comment izencia et ses salariés en font leur miel

A la recherche d’un engagement concret qui ait du sens

« Nous avons signé la Charte et adhéré au Pacte mondial de l’ONU, explique Roger Idiart, CEO d’izencia, fait planter 200 arbres à côté de Clermond-Ferrand, subventionné l’association “Règles élémentaires” et obtenu la médaille de bronze Ecovadis.

Mais tout cela était désincarné pour tous les collaborateurs d’izencia et n’était plus en accord avec notre raison d’être, notre Why.

Nous voulions quelque chose de plus concret, qui parle à tous les collaborateurs, qui les mobilise fortement et qui leur permette de s’impliquer personnellement. »

Ce constat a conduit izencia à s’engager dans un projet plus en phase avec ses objectifs :

REJOINS TA RUCHE

Faire de l’écologie active pour la biodiversité via le parrainage de ruches.

Parrainer des ruches ?
Pourquoi et comment ?

 

Il a fallu que les populations d’abeilles soient décimées par l’utilisation de certains pesticides pour que le grand public prenne conscience que leur rôle ne se limite pas à la production de miel. Si tout le monde sait maintenant que la pollinisation est le plus précieux des services écosystémiques qu’elles rendent, les abeilles restent néanmoins menacées sous toutes les latitudes. 

Grâce à la formule de parrainage proposée par Beecity, izencia contribue au développement des populations d’abeilles et agit, ce faisant, en faveur de la biodiversité. Mais ce n’est pas tout !

Roger Idiart - CEO d'IZENCIA

Un engagement éco-responsable et participatif 

« Nous ne voulions pas que le projet se résume à donner de l’argent pour financer des ruches.
Parmi les actions proposées par Beecity, izencia est la première société en France à avoir choisi le parrainage volontaire de ruches par les salariés, avec un programme d’actions sur le terrain, permettant à chacun de mettre la main à la pâte. »

Passer à l'action

14 ruches parrainées par 84 collaborateurs

Pour pouvoir parrainer une ruche, les collaborateurs volontaires doivent former « une ruche », c’est-à-dire une équipe de 6 personnes. Dans une entreprise où la plupart des collaborateurs sont le plus souvent en mission chez les clients et ne se connaissent pas vraiment, cette condition de départ a favorisé les prises de contact et les rapprochements. 

Le rucher d’izencia compte donc d’ores et déjà 14 ruches ! Celles-ci sont installées sur des sites de Beecity : 9 à Compiègne pour les équipes parisiennes, et 5 à Dardilly près de Lyon pour les roannais.

Une journée d’immersion sur le terrain, une fois par an

Les collaborateurs impliqués dans le projet rendent visite à leurs ruches une fois par an. 

La journée consacrée à cette visite permet à chacun d’en savoir davantage sur le  fonctionnement d’une ruche, l’apiculture et rôle des abeilles dans les écosystèmes en prenant part à des ateliers pratiques. 

Au programme pour chaque équipe : ouverture de la ruche, récolte du miel et de la cire, confection de beewrap (tissu enduit de cire pour emballer les aliments), fabrication de son baume de miel, quiz et dégustation de miel et plein d’autres activités – autant d’occasions d’apprendre de nouveaux gestes, de découvrir des pratiques éco-responsable et, en travaillant ensemble, de mieux se connaître.

Du miel et bien plus ! 

Chaque ruche produit en moyenne 60 pots de miel par an – de quoi non seulement satisfaire la gourmandise des participants, mais aussi faire quelques cadeaux plein de sens. Offrir à un proche, à un collègue ou à un client un pot de miel que l’on a contribué à produire suscite une fierté certaine et est une occasion d’expliquer le projet à celui qui le reçoit et, par là même, de le sensibiliser lui aussi aux enjeux de la biodiversité.

« A travers cette initiative et les moyens que nous y consacrons, l’objectif est d’entraîner toute l’entreprise dans un cercle vertueux de sensibilisation et d’actions éco-responsables, ajoute Roger Idiart. L’accueil qu’a reçu le projet en interne et la réaction des candidats à qui nous en avons parlé lors d’entretiens de recrutement me confortent dans l’idée que je me fais des engagements RSE  d’une PME. »

C’est indiscutablement le cas de cette initiative qui revêt, de plus, une dimension symbolique forte. L’analogie n’est-elle pas évidente entre la ruche – où toutes les abeilles font œuvre commune et, au-delà du miel, créent de la valeur pour leur écosystème en le pollinisant – et une ESN centrée sur les utilisateurs qui pollinise les autres entreprises en leur permettant de maîtriser les outils numériques dont elles ont besoin pour se développer à leur tour de manière durable et responsable ? 

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